Maria Poblete
Née en 1964 au Chili, MARIA POBLETE est journaliste. Elle est arrivée en France à l’âge de neuf ans, peu après le coup d’Etat du Général Pinochet, et en garde une incandescente révolte intérieure. Après de nombreuses collaborations à des radios nationales françaises («France Info, Radio France Internationale, Europe n° 1») pour lesquelles elle a couvert l’actualité latino-américaine, elle s’est spécialisée dans les sujets de société. Elle travaille pour des magazines grand public et pour des publications spécialisées dans l'enfance, la famille et l'éducation («L'Étudiant, Marie-Claire Enfants»...) Elle sait mieux que personne écouter et restituer la parole des gens qu’elle rencontre.
Chez Actes Sud junior, elle est l’autrice dans la collection “Ceux qui ont dit non” de «Lucie Aubrac : “Non au nazisme”, Simone Veil : “Non aux avortements clandestins”, »«Célestin Freinet : “Non à l’ennui à l’école”, Nadia Murad : "Non à l'esclavage sexuel" »ainsi que co-autricede« Non à l’intolérance, Non à l’indifférence »et« Non à l’individualisme.»
Son ouvrage, «La dictature nous avait jetés là» (Actes Sud junior, 2018) est un un récit poignant sur la dictature et l’exil forcé d’une famille chilienne à travers les yeux d’une petite fille, Maria.
En 2022, elle publie «Il y a ce que je suis» qui retrace le parcours difficile de Malik Soarès, abandonné par ses parents alors qu’il n’était encore qu’un bébé, et qui restera en famille d’accueil jusqu’à sa majorité.
Chez Actes Sud junior, elle est l’autrice dans la collection “Ceux qui ont dit non” de «Lucie Aubrac : “Non au nazisme”, Simone Veil : “Non aux avortements clandestins”, »«Célestin Freinet : “Non à l’ennui à l’école”, Nadia Murad : "Non à l'esclavage sexuel" »ainsi que co-autricede« Non à l’intolérance, Non à l’indifférence »et« Non à l’individualisme.»
Son ouvrage, «La dictature nous avait jetés là» (Actes Sud junior, 2018) est un un récit poignant sur la dictature et l’exil forcé d’une famille chilienne à travers les yeux d’une petite fille, Maria.
En 2022, elle publie «Il y a ce que je suis» qui retrace le parcours difficile de Malik Soarès, abandonné par ses parents alors qu’il n’était encore qu’un bébé, et qui restera en famille d’accueil jusqu’à sa majorité.